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"Que galerio!" This is what Nico, the singer of the group Lachinos, shouted when he first heard the musicians of his group attempt a traditional cumbia. What a pain. Nico lives in Paris, and it is there that he decided with his colleague and freelance friend, Julien, to create Lachinos - a music group rooted in South American influences and Spanish texts which openly engage with themes of immigration, respect for cultural differences, and samurai sauce. To do this, Nico surrounded himself with his musician friends who had played in other, more or less, obscure formations (La Pince Monseigneur, Stratocastors, Ophelie and the Turbo Babtous, …), and for whom he had always shown a polite interest. The problem, el problemo, is that these musicians are crackers who studied musicology in Parisian conservatories where jazz standard countdowns are finished with the mouthpiece of the saxophone half-inserted in the mouth (one, two, vree, vo ... ). "Que catzo,” he said to himself, "That'll do it. We are going to call it fusion and nobody will not come to break my balls, my corones.” Now, Lachinos and its 6 members are moving forward, writing songs together, and playing shows like a real suburban rock band. Hasta la muchos con Lachinos.

"Que galerio!" C'est ce qu'a crié Nico, le chanteur du groupe Lachinos, quand il a entendu pour la première fois les musiciens de son groupe jouer une cumbia traditionnelle. Quelle galère. Nico habite a Paris, et c'est là qu'il a décidé avec son collègue et ami auto-entrepreneur Julien de fonder Lachinos, un groupe de musique aux influences sud-américaines avec des textes en espagnol ouvertement engagés sur des thèmes comme l'immigration, le respect des différences et la sauce samouraï. Pour cela, Nico s'est entouré par ses amis musiciens qui jouaient dans d'autres formations plus ou moins obscures (La Pince Monseigneur, Stratocastors, Ophelie et les Turbo Babtous,...) et pour lesquels il a toujours manifesté un intérêt poli. Le probléme, el problemo, c'est que ces musiciens sont des blancos sortis de conservatoires parisiens dans lesquels on finit les décomptes des standards de jazz le bec du saxophone à moitié enfoncé dans la bouche (one, two, vree, vo...) Bon que catzo, il s'est dit ça va le faire, on va appeler ça de la fusion et on viendra pas me casser les couilles, las corones. Et voilà Lachinos et ses 6 membres qui avancent, qui écrivent des chansons ensemble et qui font des concerts comme un vrai groupe de rock de banlieue. Fort de ce constat, on s'évade dans un monde empli de merveilles, de magie et d'art où les légendes côtoient la réalité. Hasta la muchos con Lachinos


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"Que galerio!" This is what Nico, the singer of the group Lachinos, shouted when he first heard the musicians of his group attempt a traditional cumbia. What a pain. Nico lives in Paris, and it is there that he decided with his colleague and freelance friend, Julien, to create Lachinos - a music group rooted in South American influences and Spanish texts which openly engage with themes of immigration, respect for cultural differences, and samurai sauce. To do this, Nico surrounded himself with his musician friends who had played in other, more or less, obscure formations (La Pince Monseigneur, Stratocastors, Ophelie and the Turbo Babtous, …), and for whom he had always shown a polite interest. The problem, el problemo, is that these musicians are crackers who studied musicology in Parisian conservatories where jazz standard countdowns are finished with the mouthpiece of the saxophone half-inserted in the mouth (one, two, vree, vo ... ). "Que catzo,” he said to himself, "That'll do it. We are going to call it fusion and nobody will not come to break my balls, my corones.” Now, Lachinos and its 6 members are moving forward, writing songs together, and playing shows like a real suburban rock band. Hasta la muchos con Lachinos.

"Que galerio!" C'est ce qu'a crié Nico, le chanteur du groupe Lachinos, quand il a entendu pour la première fois les musiciens de son groupe jouer une cumbia traditionnelle. Quelle galère. Nico habite a Paris, et c'est là qu'il a décidé avec son collègue et ami auto-entrepreneur Julien de fonder Lachinos, un groupe de musique aux influences sud-américaines avec des textes en espagnol ouvertement engagés sur des thèmes comme l'immigration, le respect des différences et la sauce samouraï. Pour cela, Nico s'est entouré par ses amis musiciens qui jouaient dans d'autres formations plus ou moins obscures (La Pince Monseigneur, Stratocastors, Ophelie et les Turbo Babtous,...) et pour lesquels il a toujours manifesté un intérêt poli. Le probléme, el problemo, c'est que ces musiciens sont des blancos sortis de conservatoires parisiens dans lesquels on finit les décomptes des standards de jazz le bec du saxophone à moitié enfoncé dans la bouche (one, two, vree, vo...) Bon que catzo, il s'est dit ça va le faire, on va appeler ça de la fusion et on viendra pas me casser les couilles, las corones. Et voilà Lachinos et ses 6 membres qui avancent, qui écrivent des chansons ensemble et qui font des concerts comme un vrai groupe de rock de banlieue. Fort de ce constat, on s'évade dans un monde empli de merveilles, de magie et d'art où les légendes côtoient la réalité. Hasta la muchos con Lachinos


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