WHERE
Artwork
Engineers
Mixing: Spencer Hartling
Mastering: Jacob Winik
Original post written in French / Post original rédigé en français
Parker sent me the Juicebumps album by mail.
The cover art by Marian (from the band Lassie) is superb. It is very pleasant to receive beautiful things by post. It's much rarer than receiving ugly things like letterheads.
My favorite Juicebumps song is "Hairy World". It's a song about Pringus and Prongus, Parker's two huge cats. I find that the entry on the chorus is "irresistible" as the young people say. Every time I hear it, it makes me feel good. Afterwards, I think about it during the day and behind my mask that smells like onions, I smile.
Juicebumps was a trio, but now they are four. They live in the San Francisco Bay Area. It's best to watch this interview which, beyond words, explains the inexplicable:
In 2019 they were invited to perform at Festival de la Cour Denis, and at the time they played a bit like this:
My other two favorite songs from the album that I received via post office are "Computer People" and "Asphalt Kiss", but then that's my tastes.
However, the album is really well done, the sound is beautiful and it's very pleasant to let yourself be carried away by the songs. If you understand a little English it's even better, because Parker sings in English like many Americans still today.
I would say it has a fantastico-realistic style, just like this song "Wet Boi" ("Drip Drop Drip Drop").
Regarding the music theory aspect, the writing style of the group is rather realistic-fantastic. At the same time, we swim in a familiar universe while we are surprised and jostled by the rudeness of certain melodies. With the almost systematic use of the triton interval, also known under the name of "diabolus in musica", one wonders if these heretics in Juicebumps did not plan to wake the pious Saint Louis from his long sleep to have him go back on a crusade.
Many thanks to the Juicebumps for making this lovely album. Well done to Spencer Hartling for the recording (which is very well made), and good old album artist Marian Bodenstein
Parker m'a envoyé l'album de Juicebumps par la Poste.
La pochette est superbe, c'est Marian (du groupe Lassie) qui l'a faite. C'est très agréable de recevoir des belles choses par la Poste, c'est beaucoup plus rare que de recevoir des choses moches comme des papiers à entête.
Ma chanson pref' de Juicebumps c'est Hairy World, c'est la chanson sur Pringus et Prongus, les deux énormes chats de Parker. Je trouve que l'entrée sur le refrain est "irresistibling" comme disent les jeunes. A chaque fois que je l'entends, ça me met bi1, après j'y pense pendant la journée et derrière mon masque qui pue l'oignon, je souris.
Juicebumps c'est un trio, mais maintenant ils sont quatre. Ils habitent dans la baie de San Francisco. Mais voyez plutôt cette interview qui sait, mieux que les mots, expliquer l'inexplicable:
On les a invités en 2019 au festival de la Cour Denis et à l'époque ils jouaient un peu comme ça :
Mes deux autres chansons pref' de l'album que j'ai reçu par la Poste c'est Computer people et Asphalt Kiss, mais après voilà c'est mes goûts.
En tout cas l'album est bien fait, le son est beau et c'est très agréable de se laisser emmener par les chansons. Si on comprend un peu l'anglais c'est encore mieux parce que Parker chante en anglais, comme beaucoup d'Américains encore aujourd'hui.
Je dirais qu'il a une plume fantastico-réaliste, à l'image de la chanson Wet Boi : "Drip Drop Drip Drop".
En ce qui concerne l'aspect solfège, je dirais que le style d'écriture du groupe est plutôt réalistico-fantastique. A la fois, on nage dans un univers familier, à la fois on est surpris et bousculé par l'impolitesse de certaines mélodies. Avec l'utilisation quasi systématique de l'intervalle triton, aussi connu sous le nom de "diabolus in musica", on se demande si ces hérétiques de Juicebumps n'ont pas eu pour projet de réveiller le pieux Saint Louis de son long sommeil pour qu'il reparte en croisade.
Merci beaucoup aux Juicebumps d'avoir fait ce joli album. Un bon bravo à Spencer Hartling pour l'enregistrement qui est de très bonne facture.
Ainsi qu'à ce bon vieux Marian Bodenstein, dont voici une photo, pour la pochette.
Artwork
WHERE
WHEN
Engineers
Mixing: Spencer Hartling
Mastering: Jacob Winik